Racketclub 1A

Des clubs et terrains qui sortent de nulle part… le padel est en plein boum ! Ce mix formidable entre le tennis et le squash est en pleine croissance. Une croissance mondiale de 181 % sur 5 ans selon Deloitte avec des investissements futurs estimés à plus d’un milliard d’euros sur 4 ans.

Parler d’énorme succès à propos du padel ces dernières années n’est pas mentir. Le padel est né en 1969, lorsqu’un riche Mexicain qui n’avait pas assez de place dans son jardin pour y mettre un terrain de tennis, y introduit cette variante. Via une connaissance d’Enrique Corcuera, ce sport arriva aussi en Espagne où il prit son envol.

C’est en effet en 1974 qu’était créé le 1er club de Padel européen à Marbella et aujourd’hui, l’Espagne compte plus de 5 millions de pratiquants, ce qui en fait donc le sport le plus populaire après le football. L’Argentine, une autre nation où le sport de raquettes est roi, compte quant à elle 2 millions d’adhérents. Quand on sait qu’à l’heure actuelle il y a 10 millions de pratiquants dans le monde, ça laisse imaginer l’importance prise par cette discipline dans ces 2 pays.

Dans le Nord du pays, alors qu’on comptait quelque 3.000 membres il y a 4 ans, Tennis Vlaanderen peut aujourd’hui se targuer d’en compter 27.000. Et cette saison pourrait voir 1700 équipes s’affronter en interclubs sur 580 terrains. Du côté de la Wallonie, on comptait l’an dernier 124 terrains pour 281 équipes en interclubs (sur 58 clubs).

En Belgique, c’est donc environ 37.000 personnes qui ont découvert le padel et le pratiquent régulièrement. Le petit frère néerlandophone de Tennis Vlaanderen (la fédération flamande de tennis) a d’ailleurs déjà un objectif très clair, celui d’atteindre les 100.000 membres en 2024.

Le nombre de pratiquants ne cesse d’ailleurs d’augmenter. Mais trop peu vont ­jusqu’à s’affilier selon Clément Geens. À 26 ans, il est le directeur sportif de l’AFT Padel, et ­accessoirement le meilleur joueur belge de la ­discipline. “Parvenir à affilier les gens qui pra­tiquent le padel comme loisir est un gros enjeu. Il y a énormément de gens qui jouent souvent mais qui ne font jamais de tournoi, on aimerait bien les y amener.” Parmi les 20.000 pratiquants franco­phones, un peu moins de 6.000 sont effectivement affiliés

Des 250.000 membres ou affiliés à la fédération belge de tennis, on considère aujourd’hui qu’un sixième pratique dorénavant le padel. Cela signifie donc qu’un nouveau marché est en train de se créer dans des domaines tels que le textile, les balles, les raquettes, les chaussures… Les prix des raquettes oscillent entre 50 et 300 euros (pour le top du top), et un tube de balles de padel revient en moyenne à 6 euros.

Des tarifs extrêmement intéressants et démocratiques pour les débutants. Un peu moins technique que le tennis, le padel peut être pratiqué par tout le monde. "Le succès est inhérent au sport. Des gens sportifs, non sportifs, qui ont déjà pratiqué des sports de raquette ou pas, vous les mettez sur un terrain de padel, et au bout d’une demi-heure à trois quarts d’heure, ils vont jouer, s’amuser. Si on veut comparer avec le tennis, il faut un ou deux ans de cours. Avec le padel, on s’amuse très vite, et on progresse très vite."

Au dernier trimestre 2022, on dénombre 30 terrains de Padel en Province de Namur. Selon l'AFT Padel, la demande reste 5 fois supérieure à l'offre en terrains. Les joueurs se déplacent donc jusqu'à Bruxelles, Lège ou Charleroi pour jouer.

On compte à peu près une moitié de terrains extérieurs, avec le risque d'une contrainte législative de plus en plus fortes. L'autre moitié de terrains est soit installée en remplacement de terrains de tennis, soit dans des hangars.

Racketclub proposera des terrains intérieurs au sein d'une infrastructure moderne. La régulation de température assurée par des pompes à chaleur (alimentées par des panneaux photovoltaïques) permettra de garantir un confort de jeu inégalé en toute saison. Racketclub sera également la seule infrastructure de la Province à proposer le confort de vestiaires neufs, d'un sauna et d'une brasserie qui donne sur les espaces de jeu

On estime à 87 millions le nombre de pratiquants de tennis dans le monde. Le squash en compte 20 millions. Donc effectivement, avec 10 millions de pratiquants pour le padel, il y a encore du boulot…

Avec le squash, le plaisir n’a pas d’âge, ni de sexe, ni d’origine ! Femme, homme, jeune, « vieux », riche, pauvre… Le squash est accessible à toutes et à tous sans restriction. Et cela pour une bonne raison : la technique, la vision de jeu et la tactique priment sur toutes les autres considérations ! Résultat : le squash est le sport idéal pour jouer en couple, entre ami.e.s, entre parents et enfants, et même entre inconnus ! Car ce n’est ni le sexe, ni l’âge, ni l’origine qui comptent mais bien la capacité à déconnecter, à oublier ses préjugés et à se faire un maximum de bien pour un maximum de plaisir !

Les 7 péchés capitaux qui vous feront aimer le squash

Au dernier trimestre 2022, on compte 3 terrains de squash en Province de Namur. Cela représente une offre bien en dessous de la demande pour ce sport. Les gros clubs les plus proches (Le Parc à Louvain-La-Neuve et l'Aramis à Mons) présentent des taux d'occupation de plus de 90% après 17h.

Racketclub sera la seule infrastructure en Province de Namur à proposer des terrains de squash au confort de jeu inégalé en toute saison, des vestiaires neufs, un sauna et une brasserie