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Presscuff 3A
301 000 €
montant total du tour de table
244 %
- Eligible à une réduction d’impôts
DISCLAIMER
Toute décision d’investir doit être fondée sur un examen exhaustif des informations fournies par l’entrepreneur sur le profil en ligne. Spreds n’a procédé qu’à une vérification limitée de ces informations et ne contrôle pas l’opportunité d’investissement dans la société. Spreds n’a pas vérifié dans quelle mesure le plan financier élaboré par l’entrepreneur s’avère réaliste et n’intervient pas dans la fixation des termes finaux de l’investissement, notamment la valorisation maximum retenue. Spreds s’alignera aux termes financiers négociés avec le ou les co-investisseur(s).
LE PROBLÈME
En soins intensifs et lors d'opérations dans les hôpitaux, la respiration artificielle est nécessaire. On utilise alors l'« intubation » : un tube endotrachéal est introduit dans le larynx afin d'acheminer l'air directement vers les poumons.
Mais cela peut permettre à la salive (et à d'autres liquides) de s'écouler directement de la bouche vers les poumons, en passant par l'extérieur du tube. La salive contient de nombreuses bactéries, qui pénètrent ainsi directement dans les poumons. En soins intensifs, cela provoque une pneumonie chez 1 patient sur 4. Ce type de pneumonie est également appelé « pneumonie associée à la ventilation mécanique » ou « VAP » et constitue un problème bien connu dans les hôpitaux.
LES CONSÉQUENCES
En soins intensifs, la plupart des patients qui ont besoin d'une ventilation artificielle sont déjà très affaiblis. Une pneumonie acquise en milieu hospitalier (PAH) constitue donc un problème majeur. Une telle pneumonie entraîne :
- Un risque accru de mortalité. Environ 15 % des patients sous ventilation artificielle décèdent en soins intensifs à cause de ce type de pneumonie.
- De plus, une telle pneumonie entraîne une prolongation de l'hospitalisation de 6 à 13 jours supplémentaires.
- Cela coûte cher à la société. Diverses études estiment l'impact entre 5 000 et 40 000 euros par patient.
En salle d'opération, un peu plus de 28 % des interventions chirurgicales présentent un risque élevé de pneumonie. On parle alors de PPC ou de complication pulmonaire postopératoire. Là encore, les conséquences de ces complications sont importantes :
- Un risque de mortalité plus élevé : 1,7 % contre 0,2 %.
- De plus, une telle PPC entraîne une prolongation de 3 jours de l'hospitalisation.
- Cela coûte cher à la société : jusqu'à 48 000 dollars par patient.
LES SOLUTIONS ACTUELLES NE FONCTIONNENT PAS
L'ensemble du secteur a alors tenté d'empêcher les liquides de s'écouler le long de l'extérieur du tube.
Pour ce faire, un ballon (« Cuff ») est gonflé à l'extérieur du tube. Mais les liquides continuent de s'écouler à travers les plis (canaux) du ballon. Tout le monde a donc essayé de mieux fermer ces ouvertures, en :
- utilisant un autre matériau pour les cuffs ;
- modifiant la forme des cuffs ;
- utilisant plusieurs cuffs ;
Mais rien ne fonctionnait. Il est en effet impossible de fermer complètement ces ouvertures, car :
- Chaque trachée a une forme différente ;
- Chaque trachée a une taille différente ;
- Les ballonnets ne doivent pas être gonflés trop fort, car cela endommagerait la trachée.
LA SOLUTION DE PRESSCUFF
Presscuff est la seule solution qui utilise ces ouvertures autour des ballonnets au lieu d'essayer de les fermer.
Notre tube endotrachéal breveté est un système à 2 ballonnets. Nous ajoutons de la pression d'air entre les 2 ballonnets. Cette pression d'air s'échappera par les canaux des ballonnets, empêchant ainsi les liquides de s'écouler vers le bas. Après quelques heures, le personnel infirmier peut aspirer ces liquides. L'aspiration continue de ces liquides entraînerait également des difficultés (nous y reviendrons plus tard, dans la section Marché).
« C'est génial, et tellement simple » – anesthésiste lorsqu'il a entendu parler de Presscuff pour la première fois
Nous utilisons donc ces petits canaux au lieu de vouloir les fermer. Grâce à cette chambre à pression positive, nous créons une fermeture complète sans avoir à utiliser de haute pression.
LE SYSTÈME PRESSCUFF EST-IL VRAIMENT EFFICACE ?
Presscuff combine la puissance de la pression (Pressure) et des brassards (d'où notre nom, Presscuff). Ce sont les deux éléments principaux de notre produit innovant, qui est en outre protégé par des brevets. Son efficacité a été démontrée par des tests in vitro et in vivo. Au cours d'une étude clinique menée auprès de 12 patients en soins intensifs à l'UZ Brussel, une occlusion complète a été obtenue, sans aucune fuite chez les participants (100 % de réussite).
Des études scientifiques confirment que les fuites de liquide sont responsables de 98 % des pneumonies en soins intensifs. Avec Presscuff, nous offrons une solution fiable pour réduire considérablement ce risque.
TAX SHELTER 45 %
Investissements dans cette société bénéficient d’une réduction d’impôt de 45 %. Lire la suite…Veuillez noter qu’un montant restant de 264 000 € est disponible pour l’avantage fiscal du Tax Shelter.
Récapitulatif
| Investissements crowd | 61 000 € |
| Promis par d’autres | 240 000 € |
| Montant levé | 301 000 € |
| Minimum round | 25 000 € |
| Maximum round | 2 500 000 € |
| Actions dans la société (tour total) | 22,341 % |
| Valorisation pre-money | 8 690 000 € |
| Valorisation post-money min. | 8 715 000 € |
| Valorisation post-money max. | 11 190 000 € |