Keshi 1A

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71 000 €
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Cette campagne de financement est clôturée

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Toute décision d’investir doit être fondée sur un examen exhaustif des informations fournies par l’entrepreneur sur le profil en ligne. Spreds n’a procédé qu’à une vérification limitée de ces informations et ne contrôle pas l’opportunité d’investissement dans la société. Spreds n’a pas vérifié dans quelle mesure le plan financier élaboré par l’entrepreneur s’avère réaliste et n’intervient pas dans la fixation des termes finaux de l’investissement, notamment la valorisation maximum retenue. Spreds s’alignera aux termes financiers négociés avec le ou les co-investisseur(s).

Surpoids et obésité : à la recherche de solutions


« L’obésité est considérée par l’OMS comme la première épidémie non infectieuse de l’histoire humaine avec un triplement des obèses dans le monde entre 1970 et aujourd’hui.* En Belgique, 20% des enfants sont déjà en surpoids (27,3% à Bruxelles) et risquent des maladies chroniques interminables ( diabète, hypertension, arthrose, cancer). Il s’agit là d’un problème de santé publique majeur dont les coûts estimés pour la sécurité sociale sont faramineux. »

Professeur Henri Steyaert
Vice-doyen de la faculté de médecine de l'ULB
Chef de la Clinique du Poids Junior (Hôpital Universitaire des enfants Reine Fabiola

* 39% des adultes en surpoids.



Que fait-on aujourd'hui dans le monde pour prévenir les problèmes de surpoids ?


Les causes du surpoids et de l'obésité sont complexes et multifactorielles: mode de vie (alimentation), mais aussi métabolisme individuel, facteurs socio-économiques, culturels, psychologiques, et bien entendu génétiques.

Certains dénoncent « le harcèlement nutritionnel opéré par le "marketing agroalimentaire».
En clair, la pub qui cible notamment nos enfants, en exploitant le facteur émotionnel.

L'OMS déclare qu'il n'existe pas de traitement contre ce qui peut devenir une véritable maladie, et que la prévention est la seule solution:

- Par l’éducation des parents, les leçons dans les écoles (parfois), les ateliers de nutrition privés, les conseils du médecin, ou du nutritionniste.
- Ou par les campagnes média de bons conseils (5 fruits et légumes) comme "Manger.Bouger." et le célèbre « Let’s Move » de Michèle Obama (2010-2015) qui malgré ses puissants moyens ( 1 milliard 200 €) n’a pas pu ralentir la hausse du taux de surpoids des jeunes américains (33,5%).



"Depuis des mois, la grogne montait dans les écoles. Les élèves jetaient les fruits et légumes désormais proposés dans les cantines. Cette rentrée, nouvelle étape : les distributeurs de chips et sucreries sont interdits. Les jeunes et la droite crient leur haine contre Michelle Obama à qui l’Amérique doit cette révolution des cafeterias." L'Obs.

Keshi est une appli mobile fun qui installe des bonnes habitudes durables dès 5 ans pour manger sainement et bouger plus.



Les règles du jeu


Keshi se joue sur un smartphone ou une tablette. L'objectif du joueur est de faire grandir un avatar qui est projeté en mouvement devant lui, grâce à la réalité augmentée. Il ne peut conduire ses mouvements qu'en se déplaçant lui-même. 20 aliments emblématiques faciles à identifier circulent dans l'espace-jeu: 10 sont bons pour la santé (fruits, légumes, etc.) et la croissance et 10 (transformés, industrialisés, souvent très "pub") sont contraires à une saine alimentation, surtout consommés trop fréquemment. Le joueur doit aider l'avatar à attraper les uns et éviter les autres pour qu'après plusieurs paliers progressifs, il devienne un super-héros. Son super-héros!


Une pédagogie ludique révolutionnaire

Les 5 innovations de KESHI, Play & Grow:


1. Bouger pour jouer : KESHI est le premier à lier étroitement le besoin d'une saine alimentation et le goût d'une activité physique régulière dans la même démarche psychologique.

2. "Inductif" : KESHI est intuitif et sans théorie. "Explorer-Découvrir-Ancrer" permet d'installer dans la carte mentale du joueur la vraie réalité biologique de la croissance, et, en la liant aux émotions positives du jeu, d'en faire des réflexes durables de méfiance contre la "junkfood" et ses publicités.

3. 15 min. 21 jours. : l'enfant ne peut jouer que 15 min par jour, pour limiter le temps d'écran, mais surtout pour maintenir sa curiosité: l'avatar continue à vivre, et le joueur ne découvre que le lendemain comment il a grandi, ou pas ! 21 jours est le temps généralement admis pour acquérir de nouvelles habitudes, En réalité, KESHI vise beaucoup plus loin et prévoit de créer sans cesse de nouveaux avatars, de nouvelles saisons, de nouveaux scénarios.

4. "Parents-Complices" : l'enfant, maître de son jeu, peut inviter ses parents à entrer dans cet espace d'où ils pourront l'encourager, le récompenser, adapter le choix des aliments en jeu en fonction de leurs habitudes en bénéficiant d'informations diététiques gratuites, et pourquoi pas, partager des recettes.

5. Le Business Model. C'est finalement la plus importante, parce qu'elle garantit une large diffusion de KESHI et sa nouvelle approche pédagogique. A découvrir dans l'onglet "Finances".

Vu par le Psy



Le joueur pourra utiliser sa propre image et la customiser pour qu'elle devienne son avatar, ou choisir un avatar proposé


1) Keshi est le thème universel et ancestral de la poupée (ou du doudou) que l’enfant chérit affectivement et qui lui sert à construire sa personnalité et son rapport à l’autre. En s’immergeant dans sa mission de faire grandir son avatar – un autre soi – il découvre les règles qui le font grandir (ou mourir) et les ancre par les émotions ludiques qu’elles lui procurent.

2) L’objectif est que l’enfant quitte la représentation mentale de l’enfance :« la nourriture (historiquement liée à l’amour maternel) est ce qui me fait plaisir, et je ne comprends pas que cet amour aujourd’hui tente de le restreindre » à « la nourriture est ce qui fait grandir et devenir fort, mais je dois me méfier de certains aliments qui cachent leur pouvoir néfaste caché derrière un goût sucré, souvent grâce à la publicité »



Vu par les parents


1) Entre deux jeux, je choisis le plus intelligent:
- utile pour sa santé
- mieux encore, puisqu'il le pousse à quitter sa console et à bouger
- et qu’il est scientifiquement élaboré avec le plus important centre universitaire pédiatrique du pays.
- et qu’il ne joue que 15 minutes, et c’est moi qui choisit l’heure

2) Bien sûr je dois lui prêter mon smartphone ou une tablette, mais c’est aussi une manière de garder le contrôle.

3) L’espace « parent complice », une idée qui me plait : voir évoluer ses goûts, placer dans le jeu les mêmes aliments que dans le frigo familial (avec de conseils diététiques gratuits) ; l’encourager, le récompenser ; faire des recettes ensemble… pourvu qu’il m’invite !)

Keshi gagne deux prix à "Innovation et Prévention"​ (Eurasanté. Lille). 21 octobre 2021





"Le prix remis par AG2R LA MONDIALE est attribué au projet Keshi, porté par Jean-Pierre SNYERS, dans la catégorie « Nutrition Santé »
.
Keshi est une application mobile de jeu intuitif en réalité augmentée dès 5 ans pour acquérir les bons réflexes comportementaux en termes d'alimentation et d’activité physique pour bien grandir sans grossir. L’obésité mondiale menace la santé publique (diabète, hypertension…) et son financement. Selon l’OMS, la prévention est la seule solution, nécessairement auprès des plus jeunes.

Keshi est une appli mobile innovante de jeu vidéo en réalité augmentée qui fait bouger le joueur et permet « d’induire » les bons réflexes alimentaires et d’activité physique, tout en restant un jeu « fun» populaire et inclusif. Elaboré en partenariat avec le principal centre universitaire pédiatrique de Belgique.

Le projet Keshi reçoit un soutien financier de 10 000€ la part de AG2R LA MONDIALE, ainsi qu’un soutien financier de 5 000€ de la part de la Métropole Européenne de Lille
." -

Communique de presse d'Eurasanté.